Mais si, un jour, un fabricant souhaite « déverser » et mettre à disposition de la collectivité les données sur les défibrillateurs parce que cela permet de faire de l’évaluation et de la santé publique, bien sûr, il en aura la possibilité et ça deviendra une base du catalogue du SNDS/base principale. Elle sera, si les conditions sont réunies, disponible pour les personnes qui voudraient faire des études.
Le SNDS/base principale historique, c'est la base principale où il y a des données de l'assurance maladie, donc de consommation de soins en ville, les données hospitalières, et les causes médicales de décès. C'est la base principale. Après, lorsqu'il y a des personnes qui ont des idées de faire des projets, elles suivent tout le cadre réglementaire présenté. Une fois qu'elles ont obtenu l'autorisation de la CNIL, là, le travail technique d'appariement se fait pour ensuite mettre en place l'algorithme. Cela prend du temps, un certain temps de démarche réglementaire et pratico-pratique avec les données, mais les données sur les défibrillateurs ne concernent que le projet Hydro. C'est un espace cloisonné et qui n'est disponible que pour les personnes qui travaillent sur le projet Hydro.