Grâce au relais des associations qui avaient participé directement à l'étude, mais aussi les autres associations de France Assos Santé. Il y a eu plusieurs vagues de diffusion de l'étude pour pouvoir recruter des répondants. Il y a également eu plusieurs reprises par des médias généralistes assez importants et qui ont permis d'avoir un bon nombre de personnes qui n'étaient pas forcément des malades chroniques ou des personnes qui avaient un handicap. C’était un besoin pour l’étude d'avoir une population témoin qui était importante pour pouvoir bien faire une comparaison et pouvoir tirer des vrais enseignements de l'impact sur les patients et personnes qui ont un handicap. L’assurance maladie a également été un relais. Les associations ont également eu l’envie d’impliquer les aidants. Plus de 5 500 personnes ont été incluses dans l'étude.